Non loin de là, un autre cercueil, en plastique cette fois-ci. Les propriétaires ont eu la délicatesse de le mettre au soleil, livrant son petit résident à la merci des enfants du village. Un matin, je les ai vu taper contre sa petite grille pour le réveiller. Avec leurs petites mains.
lundi, septembre 06, 2010
peur du noir
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